(8 commentaires)

  1. Voici donc le commentaire sur L’Animal et la mort pour le prix de SES :


    L’animal et la mort aborde les thèmes de la destruction du monde sauvage, de la campagne, de l’éthique de la chasse… et de nombreux autres sujets affiliés.

    Ce que j’ai aimé :
    * Ce livre apporte un éclairage sur le mode de vie des habitants de la campagne qui peut être enrichissant si ce n’est pas un milieu familier.
    * Les anecdotes et les exemples se lisent facilement.
    * Les nombreuses notes de bas de page redirigeant vers d’autres sources permettent d’approfondir des points précis si nécessaire.
    * Il est aisé de naviguer entre les différents chapitres et thèmes du livre.
    * L’auteur présente ici un point de vue nuancé sur le rapport homme animal : « La coloration morale du vivant, caractéristique des perceptions morales européennes, ne coïncide nullement avec une division entre « domestiques » et « sauvages » comme le présument les théoriciens. » explique-t-il ainsi.
    * Les chapitres « l’envol de l’hirondelle » et « une femme qui tue est un monstre » m’ont particulièrement intéressée.

    Ce qui peut déplaire :
    * La longueur du livre : 398 pages. Cela peut paraître intimidant mais dans tous les cas, il est possible de sélectionner les chapitres qui nous intéressent sans être perdu.
    * Certaines parties axées sur la pratique de la chasse m’ont rebutée, la description des animaux morts pouvant être parfois choquante.

    En bref :
    Je recommande ce livre aux personnes qui s’intéressent aux animaux, à la nature et au rapport homme/animal.

  2. L’animal et la mort aborde les thèmes de la destruction du monde sauvage, de la campagne, de l’éthique de la chasse… et de nombreux autres sujets affiliés.
     
    Ce que j’ai aimé :
    *  Ce livre apporte un éclairage sur le mode de vie des habitants de la campagne qui peut être enrichissant si ce n’est pas un milieu familier.
    *  Les anecdotes et les exemples se lisent facilement.
    *  Les nombreuses notes de bas de page redirigeant vers d’autres sources permettent d’approfondir des points précis si nécessaire.
    *  Il est aisé de naviguer entre les différents chapitres et thèmes du livre.
    *  L’auteur présente ici un point de vue nuancé sur le rapport homme animal : « La coloration morale du vivant, caractéristique des perceptions morales européennes, ne coïncide nullement avec une division entre « domestiques » et « sauvages » comme le présument les théoriciens. » explique-t-il ainsi.
    *  Les chapitres « l’envol de l’hirondelle » et « une femme qui tue est un monstre » m’ont particulièrement intéressée.
     
    Ce qui peut déplaire :
    * La longueur du livre : 398 pages.  Cela peut paraître intimidant mais dans tous les cas, il est possible de sélectionner les chapitres qui nous intéressent sans être perdu.
    * Certaines parties axées sur la pratique de la chasse m’ont rebutée, la description des animaux morts pouvant être parfois choquante.
     
    En bref :
    Je recommande ce livre aux personnes qui s’intéressent aux animaux, à la nature et au rapport homme/animal.
     
    , Lycée les 7 mares

  3. L’animal et la mort aborde les thèmes de la destruction du monde sauvage, de la campagne, de l’éthique de la chasse… et de nombreux autres sujets affiliés.

    Ce que j’ai aimé :
    * Ce livre apporte un éclairage sur le mode de vie des habitants de la campagne qui peut être enrichissant si ce n’est pas un milieu familier.
    * Les anecdotes et les exemples se lisent facilement.
    * Les nombreuses notes de bas de page redirigeant vers d’autres sources permettent d’approfondir des points précis si nécessaire.
    * Il est aisé de naviguer entre les différents chapitres et thèmes du livre.
    * L’auteur présente ici un point de vue nuancé sur le rapport homme animal : « La coloration morale du vivant, caractéristique des perceptions morales européennes, ne coïncide nullement avec une division entre « domestiques » et « sauvages » comme le présument les théoriciens. » explique-t-il ainsi.
    * Les chapitres « l’envol de l’hirondelle » et « une femme qui tue est un monstre » m’ont particulièrement intéressée.

    Ce qui peut déplaire :
    * La longueur du livre : 398 pages. Cela peut paraître intimidant mais dans tous les cas, il est possible de sélectionner les chapitres qui nous intéressent sans être perdu.
    * Certaines parties axées sur la pratique de la chasse m’ont rebutée, la description des animaux morts pouvant être parfois choquante.

    En bref :
    Je recommande ce livre aux personnes qui s’intéressent aux animaux, à la nature et au rapport homme/animal.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *