Anton Brender, « Les démocraties face au capitalisme : Le prix de la vie des hommes » (Odile Jacob, 2024).

Brender analyse les tensions entre les exigences du capitalisme moderne et les valeurs démocratiques, en se concentrant sur l’impact humain et social de ces dynamiques économiques. Il propose une réflexion sur le coût humain des politiques économiques actuelles et plaide pour une réévaluation des priorités sociétales. L’ouvrage invite à repenser la place de l’humain dans les systèmes capitalistes contemporains.

(8 commentaires)

  1. J’ai trouvé ce livre très intéressant. Les chapitres sont légèrement sous formes de dissertation, apportant de nombreux exemples et points différents en un seul chapitre, ce qui permet non seulement de faire des pauses mais aussi de ne pas avoir trop d’informations similaires d’un coup. Par exemple, le chapitre 1 « La démocratie a fait du capitalisme un moteur de progrès », a comme premier point « Une vision intégriste du capitalisme », puis « Le capitalisme, source d’inspiration », etc. J’ai trouvé les termes employés très clairs et le fait d’avoir des exemples assez communs (La France pour la scolarisation des adolescents en 1950, les États-Unis pour l’inflation, etc) très pratique à la compréhension. Même si ce n’est pas le genre de livre que nous (adolescents) avons l’habitude de lire, nous pouvons tout de même le comprendre.

  2. Trinité : Relations entre capitalisme et démocraties. Auteur prône retour du capitalisme. Une lecture entraînante, se lit facilement, j’ai bp aimé. Pour lui, plus les démocraties se détachent du capitalisme, plus ça va mal.
    Jocelyne : un livre difficile à lire, qui montre aussi les aspects négatifs du capitalisme. Une lecture assez ardue.

  3. Livre intéressant qui ose les bases de la limite du capitalisme dans nos démocratie actuelle. L’auteur informe et pose beaucoup de question, sans juger. Il énonce ce qui ne va pas à l’aide de nombreux exemples, que cela soit capitalisme ou communisme, leur début ou leur mécanique actuelle, que cela soit en France aux Etats-Unis ou en Chine … Ce livre peut parfois être lourd à lire, mais il pose les bonnes questions que l’on devrait se poser aujourd’hui.

  4. Alors je pense que ce livre est très intéressant sur la façon dont il est écrit. Je trouve de même que son écriture est plutôt adéquate et facile a comprendre.
    Le capitalisme n’est en réalité pas responsable de la siuation du fait justement que cest a cause du laisser faire des démocraties qui n’ont pas mis des sanctions au juste moment que le capitalisme en a découlé a etre ainsi.

  5. J’ai bien aimé ce livre. J’ai trouvé l’argumentation efficace et le langage très accessible, meme si c’était un peu répétitif par endroits. L’auteur a un point de vue nuancé sur le capitalisme : il rattache les dégâts du capitalisme à l’incapacité qu’on eu nos démocraties à l’encadrer correctement.

  6. Je trouve que le livre est extrêmement intéressant, il est très facile à lire et à comprendre en plus du sujet très bien expliqué, je dirais meme tres insistant sur ses argument pour ne pas laisser place au incompréhension.
    Il explique bien en détailler l’utilité du système capitaliste d’une façon neutre sans défendre ni accuser dans le livre ce que je trouve très intéressant comparé aux autres point de vues possible sur le sujets

  7. Sujet très interessant, mais le livre n’est pour moi pas adapté à des lycéens ( vocabulaires et notions très riches et complexes ).
    Je n’ai pas réussi à le finir …

  8. C’est un livre très intéressant mais aussi technique car le vocabulaire utilisé est spécifique. Il faut être bien concentré pour saisir tous les concepts qu’il explique. Néanmoins, ce livre reste accessible à des lycéens. La structure du livre en chapitres et en sous-parties rend la lecture plus fluide et la chronologie des explications permet de rendre compte des évolutions de nos sociétés. Ce livre nous a permis de nous rendre compte que le capitalisme est une idéologie et un mode de fonctionnement répandu partout dans le monde et pas seulement dans certains pays comme les Etats-Unis, car c’est un phénomène dont on entend moins parler en France.

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