Brender analyse les tensions entre les exigences du capitalisme moderne et les valeurs démocratiques, en se concentrant sur l’impact humain et social de ces dynamiques économiques. Il propose une réflexion sur le coût humain des politiques économiques actuelles et plaide pour une réévaluation des priorités sociétales. L’ouvrage invite à repenser la place de l’humain dans les systèmes capitalistes contemporains.
J’ai trouvé ce livre très intéressant. Les chapitres sont légèrement sous formes de dissertation, apportant de nombreux exemples et points différents en un seul chapitre, ce qui permet non seulement de faire des pauses mais aussi de ne pas avoir trop d’informations similaires d’un coup. Par exemple, le chapitre 1 « La démocratie a fait du capitalisme un moteur de progrès », a comme premier point « Une vision intégriste du capitalisme », puis « Le capitalisme, source d’inspiration », etc. J’ai trouvé les termes employés très clairs et le fait d’avoir des exemples assez communs (La France pour la scolarisation des adolescents en 1950, les États-Unis pour l’inflation, etc) très pratique à la compréhension. Même si ce n’est pas le genre de livre que nous (adolescents) avons l’habitude de lire, nous pouvons tout de même le comprendre.